L’inspecteur d’académie s’était cependant engagé à réunir ce groupe de travail et à nommer, hors barème, les collègues dont les situations sont les plus douloureuses, à l’image de ce qui se faisait antérieurement.

C’est donc avec consternation que nous avons appris en séance que les avis favorables, sociaux ou médicaux, ne donneraient lieux qu’à l’attribution de 35 points (moins d’une année d’AGS !), sans autre traitement prioritaire.

Seul le SNUipp-FSU est intervenu pour dénoncer cette situation et rappeler ses engagements à l’inspecteur d’académie, pour affirmer que la prise en compte des situations particulières se fait dans l’intérêt des collègues mais aussi du service.

Finalement, l’inspecteur d’académie s’est rendu à nos arguments et a accepté d’apprécier, en groupe de travail, les 30 situations recensées et à prioriser les plus prégnantes (au regard de la préconisation du médecin de prévention ou de l’assistante sociale).

Nous avons bien conscience que les nouvelles modalités du mouvement ne le permettent pas et que c’est bien par un souci de gestion humaine des situations et de respect du dialogue social que l’inspecteur d’académie a accédé à notre demande.

Au final...

Cas particuliers :

Prise en compte de 9 situations, en priorité, à la première phase du mouvement. Les 21 autres seront étudiés éventuellement à la seconde phase du mouvement si elles n’ont pas obtenu satisfaction à la première.

Mesures de carte scolaire :

Les collègues victimes de carte scolaire bénéficient de 2000 points supplémentaires sur des postes de même nature dans un rayon de 25 km (2500 points si mesure de carte 2018). Il ne s’agit plus d’une priorité avec attribution d’un point de chute (1er poste vacant au barème) en amont du mouvement.

Tous les collègues qui nous avaient demandé de suivre leur situation ont été contactés.

Groupe de travail cas particuliers, mesures de carte scolaire du 25 avril