Depuis le mois de septembre, nous avons obtenu l’abandon du vol de 2 jours fériés et le décalage de la réforme des retraites, première brèche en vue de son abrogation. Le Premier ministre a aussi été contraint de s’engager à ne pas utiliser le 49-3. Cependant, les premières semaines de débat parlementaire démontrent que, sans la mobilisation du monde du travail, ce budget aura des conséquences catastrophiques pour les travailleurs et les travailleuses, pour nos services publics et pour l'avenir de notre pays. Dans cette période de débat budgétaire, nous devons avant le vote maintenir la pression. Nous appelons donc à une grève massive le 2 décembre !